Refusant que l'UPL incorpore un millitaire parmit ses rangs en vertu de sa tradition démocratique, Alexandre Loretan quitte ce parti. Il fonde un deuxième parti d'allégeance socialiste, le Parti Socialiste et Pacifiste.
Sur un autre sujet, la chambre d'assemblée a élu son président. Suite à des déchirements internes et de nombreuses abstentions, le candidat de la coalition majoritaire de droite n'a pas gagné. C'est plutôt le candidat UPL René Royaloski qui l'emporta.