LGdK numéro 32

La Gazette de Kaora

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Edito

Les jeux des explications

Communiqué de LGdK du 7 octobre 2008 en réponse aux propos de Mat Lenul

C’est bien connu, il est toujours plus facile d’entendre ou de lire de belles paroles bien mielleuses, que des critiques. Mat Lenul semble découvrir cette évidence. Il y a 6 jours dans nos colonnes, nous étions étonnés par « l’échec hallucinant du tennis pingouin (…) pour des raisons techniques » et nous nous demandions « pourquoi les organisateurs ne se sont pas préoccupés en amont de ce problème ». Si on se fit aux déclarations qu’il a faites, Mat Lenul n’a pas apprécié ces propos. Il a en effet déclaré « quand je lis que les organisateurs auraient pu s'en préoccuper avant ou davantage, je rigole bien fort !! Je ne peux tout simplement pas faire de miracle »

Au-delà du fait que M. Lenul n’aie pas eu l’aplomb et l’élégance de demander un droit de réponse à notre journal en préférant tenter des déclarations méprisantes, M. Lenul préfère justifier cet échec – parce qu’il s’agit bien d’un échec – par l’explication de problèmes techniques qu’il ne pouvait pas régler. Pourtant, le rôle d’un organisateur est bien de s’assurer avant les épreuves du bon fonctionnement des moyens utilisés ou au moins de déléguer cette tache à une personne qui a les moyens de le faire. Par ailleurs, M. Lenul s’appuie sur l’argument de l’utilisation d’un matériel non-athlétien pour cette épreuve qu’il ne peut donc contrôler. C’est justement une très bonne raison pour anticiper un tel désagrément et prévoir une, voire deux autres épreuves pour la remplacer.

Si nous étions aussi méprisant que M. Lenul, nous éclaterions de rire devant l’amateurisme de cette organisation. Mais voilà, en raison de notre sincérité, à l’égard de l’investissement, de l’esprit d’initiative de Mat Lenul et de la bonne tenue de l’ensemble des autres épreuves, nous n’adopterons pas cette « petite » attitude. Kompétia 2008 aura été de bons jeux micro-olympiques avec des ratés comme le tennis pingouin ; N’en déplaise à Mat Lenul.

Réponse de Mat Lenul

Il n'y a aucun soucis cher Tod, j'assume cet échec, effectivement cette épreuve était jouable au moment des inscriptions (soit en Juin), mais plus au moment de le jouer. J'aurais dû m'en assurer.

Mais je le répète, pour des causes diverses (EL) (…) J’ai été impuissant pour régler ce problème, et là est ma faute. Et les participants ont encore le choix d'attendre la semaine prochaine (…) pour que je remplace cette épreuve !

Je vous remercie de votre franchise et j'en profite pour remercier encore tous ceux qui ont publié des articles sur cet événement.

Bon courage à toutes les nations qui espèrent envisager les prochains JMO. Je peux vous dire que cela représente du boulot! !

Tod Ruffin


LES TITRES :

Interview exclusive de Christophe Pugistyle
Le Président montre le chemin
A la croisé des chemins
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Sports - Spécail JMO 2008

Athlétia et Svérige grands vainqueurs

Athlétiens et svérigeois peuvent être très satisfaits de leurs parcours respectifs, qui sont intimement liés, lors des JMO de Kompétia 2008. Si nous tirions un premier bilan (nous ne savons toujours pas si le tennis pingouin est définitivement annulé), la constatation est qu’Athlétia est leader du tableau d’honneur avec 4 médailles d’or (sur 6 épreuves !) et une médaille de bronze. En dominant outrageusement les sports collectifs (champion en hozkey et en football, et troisième en subrugby), Athlétia s’est imposé comme une nation aux valeurs de cohésion et de solidarité.

De leur côté, les svérigeois auront tout essayé pour accrocher une médaille d’or à leur escarcelle. Mais rien n’y a fait : 4 médailles d’argent et 3 médailles de bronze. Et dire qu’ils n’étaient pas présents en subrugby… ! En nombre de médaille, Svérige est largement en tête avec 7 rondelles alors qu’Athlétia en a collectionné que 5. Les svérigeois ont termine deuxième en football, en hozkey, en cyclo-beuverie et en Tennis d’étable à chque fois derrière Athlétia. Ils auront été les éternels second.

Sur les 10 nations présentes au départ, la moitié a été récompensée par une breloque. Ainsi, on ne peut pas dire que les fantispais, les bélondaures ou la plupart des gamboates se soient fait remarquer par leur esprit sportif. Bien au contraire.

Robert Rastapopoulos aura été incontestablement le sportif le plus en vue. Avec pas moins de 4 récompense (sur les 5 de son pays) dont 3 en or et une en bronze, il aura été de loin le sportif le plus efficace. Un athlétien est toujours suivi d’un svérigeois. Ce classement ne fait pas défaut à la règle puisque Dennis Jaribsson a lui aussi remporté 4 médailles, mais seulement 3 en argent et 1 en bronze. Il est nécessaire de noter la très bonne performance de l’orionnais Ata Ata Anaia, seul représentant de son pays, qui a remporté malgré tout deux médailles (1 en or et 1 en bronze) plaçant ainsi Orion sur la troisième marche du tableau d’honneur.

Quant à Prya, le bilan est assez satisfaisant. Avec 3 médailles, la plus grande délégation de ces JMO se place deuxième derrière l’intouchable Athlétia. Une seule médaille d’or (Tod Ruffin en miche volée) et 2 en argent (Raito Kalio en miche volée et Christophe Pugistyle avec la sélection de subrugby) viennent donc garnir un parcours qui avait fortement mal commencé avec la disparition prématurée de nombreux athlètes pryans.

Au final, Kompétia aura été un très bon moment de sport. De nombreuses épreuves, beaucoup de pays présents permettant ainsi des rencontres peu évidentes comme celle entre Dawa et Svérige qui étaient (sont ?) en froid. Rien que pour ça, Kompétia et son organisateur auront réussi leur pari. Organisateur que nous n’avons pas ménagé parce que tous n’a pas été parfait : aucune date annoncée pour la tenue des JMO, des résultats pas toujours annoncés, une communication trop peu étoffée, du matériel utilisé non vériféié (ou travail non délégué), ce qui pourrait amener l’annulation d’une épreuve faute de n’avoir anticiper le problème… Les erreurs et les échecs existent. Mais l’engagement, l’esprit d’initiative et l’investissement de l’organisateur n’en restent pas moins indiscutable, admirable et fortement louable.

Un autre échec vient se greffer à ce tableau. Mais celui-ci n’incombe pas à Mat Lenul. Il s’agit du taux de forfait constaté durant ces jeux. Si le subrugby (0%) et la cyclo-beuverie (15,4%) s’en tirent bien, ce n’est pas vraiment le cas du football (62,5%), du hozkey (62,5%) et du tennis d’étable (50%) qui amènent à penser qu’elles ont été des compétitions aux rabais. Légèrement plus épargné, la miche volée (35,7%) souffre un peu aussi de ce problème. Pourquoi un si faible investissement des « sportifs » qui s’étaient engagés ?

Tableau Final

Football

Athlétia
Svérige
Dawa

Hozkey

Athlétia
Svérige
Orion

Subrugby

Orion
Prya
Athlétia

Miche volée

Tod RUFFIN (Prya)
Raito KALIO (Prya)
Dennis JARIBSSON (Svérige)

Tennis d’étable

Robert RASTAPOPOULOS (Athlétia)
Charles-Philippe DE SVERIGE (Svérige)
Anja GOTSSON (Svérige)

Cyclo-beuverie

Robert RASTAPOPOULOS (Athlétia)
Dennis JARIBSSON (Svérige)
Anja GOTSSON (Svérige)

Tableau d’honneur *

Athlétia 4 en or 0 en argent 1 en bronze
Prya 1 en or 2 en argent 0 en bronze
Orion 1 en or 0 en argent 1 en bronze
Svérige 0 en or 4 en argent 3 en bronze
Dawa 0 en or 0 en argent 1 en bronze

Svérige = 7 médailles
Athlétia = 5 médailles
Prya = 3 médailles
Orion = 2 médailles
Dawa = 1 médaille

Robert RASTAPOPOULOS (Athlétia) = 4 médailles (3 en or et 1 en bronze)
Dennis JARIBSSON (Svérige) = 4 médailles (3 en argent et 1 en bronze)
Ata Ata ANAIA (Orion) = 2 médailles (1 en or et et 1 en bronze)
Anja GOTSSON (Svérige) = 2 médailles (en bronze)
Mat LENUL (Athlétia) = 1 médaille (en or)
Tod RUFFIN (Prya) = 1 médaille (en or)
Charles-Philippe DE SVERIGE (Svérige) = 1 médaille (en argent)
Raito KALIO (Prya) = 1 médaille (en argent)
Christophe PUGISTYLE (Prya) = 1 médaille (en argent)
Paricé VINYL (Dawa) = 1 médailles (en bronze)

* Nations non-récompensées : Belondor – Fantispa – Gamboa – Kloho - San Pedro

Tod Ruffin
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Football : 37,5% de bonheur
Miche volée : Prya au firmament
Tennis d’étable : L’imposant Rastapopoulos
Subrugby : Des Kaorastyles combatifs
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